L’année 2017 a été choisie comme période de référence de l’étude. Les résultats ont montré que les femmes entrepreneures ou gérantes, dans le secteur formel, ont un niveau d’études élevé (60,4% ont le niveau supérieur) et sont relativement jeunes (57,1% ont un âge compris entre 35 et 55 ans). Les principales difficultés qu’elles rencontrent sont relatives aux impôts et taxes et à l’accès aux crédits. Elles contribuent à hauteur de 1 000,5 milliards CFA à la création de revenu, soit 24,5% à la valeur ajoutée du secteur formel. Cette richesse est tirée principalement par le secteur tertiaire avec une contribution de 79,3%.